Savez-vous qu’entreprendre une psychothérapie ou faire un travail sur soi est un acte courageux ?

Si, si c’est courageux ! C’est surmonter les images d’Epinal « Seuls les fous vont voir un psy », les préjugés de votre entourage – peu averti –    « tous des charlatans », « tu vas perdre ton temps et ton argent » et peut-être les vôtres aussi « je suis faible si je vais voir un psy », « je ne vais faire que pleurer et à quoi ça va m’avancer ? » etc.

 Et pourtant, entre mille raisons d’entamer une démarche sur soi, j’ai juste envie de vous partager qu’on peut entrer en thérapie pour être plus libre et plus vivant.

Plus libre par la compréhension de ses modalités de contact avec les autres, la reconnaissance de ses émotions, de ses besoins, par l’émergence de ses valeurs, par l’abandon de certaines représentations de soi…

 Plus vivant par l’exploration du tableau de votre paysage intérieur : considérer les parties qui poussent, identifier celles asséchées qui auraient bien besoin d’eau, regarder les parties sombres, parfois atomisées pour apprendre à vivre avec.

Mes valeurs